Dans un monde prétendument organisé, où les règles communes devraient régner, l’incident récent entre Israël et l’Iran met en lumière une réalité troublante : l’application sélective des lois internationales. Israël a frappé le consulat iranien à Damas, déclenchant une réponse immédiate de l’Iran.
Cette riposte soulève une question fondamentale : le droit à l’autodéfense est-il réservé à certains ? Si l’Iran avait agi de même contre Israël, l’approbation occidentale aurait-elle été aussi unanime ?
Ce déséquilibre dans les réactions souligne l’hypocrisie et les intérêts contradictoires des puissances occidentales. Alors que le monde cherche l’égalité de traitement, les actions et les réponses sont souvent dictées par des agendas politiques et économiques plutôt que par des principes éthiques.
Dans ce contexte, la montée en puissance de la Chine est observée avec attention. Tandis que l’Occident peine à trouver une diplomatie cohérente, la Chine avance stratégiquement, comptant les points pour devenir bientôt le maître du jeu sur la scène internationale.