Après six ans de relation, la princesse Märtha Louise de Norvège a épousé Durek Verrett, un chaman américain d’origine haïtienne, le 31 août dans le pittoresque fjord de Geiranger. Ce mariage, très attendu, a captivé l’attention pour plusieurs raisons. Märtha Louise, connue pour son goût de la tradition mêlée à une touche personnelle, a choisi une robe de mariée ivoire sans manches, qui rappelait celle de son premier mariage avec Ari Behn, mais cette fois-ci sans manteau, marquant une évolution subtile mais significative dans ses choix vestimentaires.
La robe de la princesse, restée un mystère jusqu’à la cérémonie, a été révélée uniquement lors de son entrée, cachée derrière des draps blancs pour préserver l’exclusivité promise au magazine britannique « Hello ». Ce choix de discrétion contraste avec l’ouverture traditionnelle des mariages royaux, ajoutant une dimension intrigante à l’événement.
Durek Verrett, dont l’origine et la profession ont suscité un large débat en Norvège, a également attiré l’attention. Le couple a dû naviguer entre soutien et scepticisme, notamment en raison des pratiques spirituelles controversées de Verrett. Néanmoins, leur union symbolise une modernisation de la monarchie norvégienne, confrontée à des changements sociaux et culturels significatifs.
Les réactions en Norvège ont été mitigées, entre ceux qui célèbrent l’amour transcendant les frontières culturelles et ceux qui critiquent le rôle de Verrett. L’événement a également eu un impact médiatique important, reflétant les tensions entre tradition royale et modernité.
En dépit des critiques, le mariage de Märtha Louise et Durek Verrett pourrait bien marquer un tournant dans l’histoire de la monarchie norvégienne, symbolisant un rapprochement entre des mondes autrefois perçus comme incompatibles.