« Nos agriculteurs ne peuvent pas être la variable d’ajustement » : Emmanuel Macron inaugure le Salon de l’agriculture un an après la crise

« Nos agriculteurs ne peuvent pas être la variable d’ajustement » : Emmanuel Macron inaugure le Salon de l’agriculture un an après la crise

Emmanuel Macron, au Salon international de l’agriculture, le 22 février 2025. LAURENCE GEAI/MYOP POUR « LE MONDE » Contraste. Après le chaos de 2024, le 61e Salon international de l’agriculture a été inauguré dans le calme, aux premières heures de la matinée, et sous haute surveillance policière, samedi 22 février, au Parc des expositions de la porte de Versailles, à

Emmanuel Macron, au Salon international de l’agriculture, le 22 février 2025.

Contraste. Après le chaos de 2024, le 61e Salon international de l’agriculture a été inauguré dans le calme, aux premières heures de la matinée, et sous haute surveillance policière, samedi 22 février, au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris, par Emmanuel Macron. Avant l’ouverture, au premier étage du hall 1, auquel le public n’a pas eu tout de suite accès, le président de la République a rencontré un à un les syndicats d’exploitants agricoles : Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), Jeunes Agriculteurs (JA), Confédération paysanne et Coordination rurale (CR), représentants d’une colère agricole qui s’est peu à peu muée en une inquiétude latente et une forte attente.

« Nos agriculteurs ne peuvent pas être la variable d’ajustement » du pouvoir d’achat et des accords commerciaux, a déclaré M. Macron, devant un panel de journalistes, espérant précisément apaiser cette inquiétude, juste avant d’aller couper le traditionnel ruban tricolore, sous l’œil d’Oupette, la vache limousine égérie de l’édition 2025.

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