“J’ai réussi, Dieu merci”, déclare Jorluis Ocando, à son arrivée au Texas après avoir franchi légalement la frontière sans emprunter les circuits périlleux des passeurs. Ce Vénézuélien de 28 ans est l’un des 1 500 migrants à entrer chaque jour aux États-Unis en utilisant l’application CBP One, un système électronique permettant aux demandeurs d’asile potentiels de déposer leur demande en ligne. À l’approche de l’élection présidentielle américaine, les migrants sont de plus en plus nombreux à opter pour la voie légale de l’asile, par crainte d’être expulsés. 

“J’ai réussi, Dieu merci”, déclare Jorluis Ocando, à son arrivée au Texas après avoir franchi légalement la frontière sans emprunter les circuits périlleux des passeurs. Ce Vénézuélien de 28 ans est l’un des 1 500 migrants à entrer chaque jour aux États-Unis en utilisant l’application CBP One, un système électronique permettant aux demandeurs d’asile potentiels de déposer leur demande en ligne. À l’approche de l’élection présidentielle américaine, les migrants sont de plus en plus nombreux à opter pour la voie légale de l’asile, par crainte d’être expulsés. 

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