Dimanche, la coalition de rebelles islamistes a libéré les détenus de Saydnaya, surnommée “l’abattoir humain” par Amnesty International. Mais alors que toutes les cellules semblaient avoir été ouvertes, les opérations de sauvetage se sont poursuivies jusqu’à mardi. En cause : une rumeur selon laquelle plus de 100.000 prisonniers visibles sur des caméras de vidéosurveillance restaient inaccessibles. Après des recherches approfondies, les secouristes n’ont trouvé aucune preuve confirmant cela.
Dimanche, la coalition de rebelles islamistes a libéré les détenus de Saydnaya, surnommée “l’abattoir humain” par Amnesty International. Mais alors que toutes les cellules semblaient avoir été ouvertes, les opérations de sauvetage se sont poursuivies jusqu’à mardi. En cause : une rumeur selon laquelle plus de 100.000 prisonniers visibles sur des caméras de vidéosurveillance restaient inaccessibles. Après des recherches approfondies, les secouristes n’ont trouvé aucune preuve confirmant cela.
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