Depuis son accession à la tête du Ministère des Travaux Publics, Transport et Communication (MTPTC), aucune réalisation considérable, ni travaux d’aménagement, encore moins de réhabilitation de route, de bâtiment n’ont eu lieu. C’est un fait avéré que de tous les ministres qui ne font que jouir les bienfaits d’un pouvoir mal acquis, l’ingénieur Rosemond Pradel de la Fusion des Sociaux démocrates est la pire déception.
Depuis que les gangs de la troisième circonscription de Port-au-Prince ont coupé l’accès à l’entrée sud de la capitale, la population, tentant de s’accommoder de la situation, emprunte les routes rocailleuses et périlleuses de Tara’s et Saint Jude, où plusieurs accidents ont déjà eu lieu.
San gêne, le titulaire du MTPTC ne lève même pas le petit doigt pour effectuer des travaux au niveau de ces tronçons de route.
Même si la Fusion des sociaux démocrates, signataire de l’accord 11 septembre, voulait sa part du gâteau, il aurait du laisser ce poste à quelqu’un digne de l’occuper, estiment des observateurs qui dénoncent la passivité du ministre Pradel. Son ministère n’a-t-il pas un budget de fonctionnement ?
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