« À madame Joly, Ministre d’un pays d’Etat de Droit, je souhaite qu’elle vérifie ses sources et les faits. Je rejette catégoriquement toutes accusations ou suspicions de contributions au climat d’insécurité ou de corruption d’ailleurs incompatible avec le type d’emplois que nous offrons à nos compatriotes depuis des décennies, en partenariat avec des entreprises canadiennes et américaines sérieuses », peut-on lire dans cette note.

André Apaid qui se présente comme un véritable pacificateur, souligne qu’il n’a jamais participé, ni de près ni de loin, à des actions louches pouvant souiller sa réputation.

« Sur la question des gangs et du désarmement : chacun des ambassadeurs du Canada depuis 2004, à l’exception de celui en place, Monsieur Sébastien Carrière que je n’ai pas rencontré, a été témoin de mes efforts et de ma contribution. Si je prends la peine d’écrire cette note c’est par souci que je sois compris de mes compatriotes, de mes collaborateurs et de ma famille, à la lumière de l’incompréhensible communiqué émis par la Ministre des Affaires Etrangères du Canada Madame Mélanie Joly, me plaçant dans une liste de sanctionnés accusés de violations de droits humains, incluant la violence sexuelle », poursuit la note à travers laquelle l’homme d’affaires indique les différentes périodes au cours desquelles il contribué aux efforts visant le désarmement des jeunes.