Cependant, toutes les menaces planent encore sur ce tronçon de route, prévient-elle, ajoutant que les zones à risque sont sous le contrôle de l’institution policière pour éviter le pillage des convois humanitaires.

La porte-parole de l’institution policière persiste et signe que les présumés bandits qui opèrent dans la région métropolitaine de Port-au-Prince représentent un danger réel pour la population en dépit de la trêve observée.

Toutefois, la police a renforcé sa présence sur la route nationale#2 afin de sécuriser les convois humanitaires. Des agents des forces de l’ordre sont déployés et déterminés afin que l’aide humanitaire soit acheminée à destination, rapporte Madame Verrier.