C’est le petit comprimé dont la vente finançait le régime de Bachar al-Assad. Depuis la chute du président syrien, les découvertes d’usines de captagon, une drogue de synthèse qualifiée de “cocaïne du pauvre”, se multiplient.
C’est le petit comprimé dont la vente finançait le régime de Bachar al-Assad. Depuis la chute du président syrien, les découvertes d’usines de captagon, une drogue de synthèse qualifiée de “cocaïne du pauvre”, se multiplient.
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