Tentative d’assassinat du caractère d’Ezechiel Alexandre par la FJKL

Tentative d’assassinat du caractère d’Ezechiel Alexandre par la FJKL

Combien de grossières erreurs non signalées ont été commises par la Fondation Je Klere? Combien de fois la FJKL a-t-elle assassiné moralement des citoyens?

L’affaire du policier Ezechiel Alexandre suscite pas mal de questions tant sur l’impartialité des enquêtes de la FJKL que sur l’utilité de ses rapports.

Sans vergognes, la Fondation dont Marie Yolène Gilles et Me Samuel Madistin en sont les responsables a étiqueté l’inspecteur divisionnaire, Ezechiel Alexendre, de chef de gangs de la “Base Pilate”. À travers les médias, Mme Gilles a mené une campagne sans merci contre le policier. Même le numéro d’identification de l’agent figure correctement dans le récent rapport de la FJKL, le présentant comme un personnage trempé dans des actes de banditismes, dans des crimes odieux. À entendre les révélations de Marie Yolène Gilles, on aurait dit que le travail d’enquête de la Fondation est impeccable. Et pourtant !

Pointé du doigt, l’agent de police qui compte 25 ans bien sonnés au sein de l’institution policière a tenté de se défendre des accusations non-fondées de la FJKL. Le tour médiatique effectué par Ezechiel Alexandre pour se disculper n’a pas été couronné de succès, tant les accusations de FJKL étaient, superficiellement, solides.

Il a fallu attendre une attestion de l’Inspection Générale de la PNH pour que la FJKL ravale ses mensonges à propos de l’inspecteur de police. En effet, dans cette attestion portant la signature de l’inspecteur général en chef, Hervé Julien, il est dit noir sur blanc “qu’après les recherches effectuées dans les archives et sur ses bases de données, l’Inspection Générale certifie que le policier Ezechiel Alexandre n’est l’objet d’aucune recommandation de sanction, jusqu’à date…”.

Ainsi, l’IGPNH a coupé court aux insanités de la Fondation Je Klere qui, sans scrupules, s’est fendu d’un simple communiqué faisant part de son regret…

Cette gravissime erreur, volontaire ou involontaire de la FJKL, mérite d’être dénoncée. Un organisme de défense des droits humains ne peut agir, ne doit agir avec autant de légèretés. Dans le cas contraire, la violation des droits humains par ceux-là mêmes qui s’autorisent à les défendre est une garantie.