Après 48 semaines d’essais cliniques sur un échantillon de 418 patients séropositifs faisant usage vain des médicaments antiviraux oraux, selon un rapports de la société pharmaceutique Frontier Biotech, des médicaments anti-VIH dénommés inhibiteurs de fusion, l’albuvirtide premier médicament chinois aassocié de l’antiretroviral Kaletra, donne de bon résultats.
Selon l’étude réalisée sur ce régime unique fusionnant deux médicaments dont le premier essai date de 2013, après quatre semaines d’utilisation, le virus est indétectable sur 41% des patients recrutés pour les essais, alors que 85% ont eu un traitement efficace.
D’après les constats de la commission nationale de santé chinoise en 2020, 1.25 millions de chinois vivaient avec le virus, avec un rythme de contamination de 80 000 personnes par année, ce nouveau médicament cliniquement sûr représente une grande avancée dans la lutte contre le VIH.