Zack Mwekassa, un ancien kickboxeur congolais, a récemment fait polémique avec des propos très virulents à l’égard du peuple camerounais. Il a déclaré sur les réseaux sociaux : « Rien à foutre des Camerounais… rien en commun à part la peau noire », ce qui a immédiatement suscité un tollé. Ces déclarations, jugées dégradantes, ont profondément choqué les Camerounais et ont entraîné une vague de critiques sur internet.
Mwekassa, qui se présente comme un motivateur et un entrepreneur, a qualifié les Camerounais d’« irrespectueux » et a également critiqué les autorités du pays, les accusant d’être responsables d’une « république bananière ». Il s’en est pris non seulement aux citoyens, mais aussi aux dirigeants, ce qui a aggravé la situation. Les internautes camerounais, se sentant offensés par ces remarques, ont massivement réagi en inondant ses comptes de commentaires furieux.
Ce n’est pas la première fois que Zack Mwekassa se retrouve sous le feu des critiques. Ancien champion de kickboxing, il est connu pour son franc-parler, mais cette fois-ci, son attitude semble avoir franchi une ligne rouge en s’attaquant à une nation entière. Cet incident rappelle que les figures publiques doivent peser leurs mots lorsqu’elles s’expriment sur des sujets aussi sensibles que l’identité nationale et le respect des autres cultures.
Pourtant, il ne s’agit pas simplement d’une affaire d’opinions controversées, mais d’un véritable clivage qui s’est ouvert entre Mwekassa et une grande partie de la communauté camerounaise. Au-delà du sport, cette affaire souligne l’importance des réseaux sociaux et l’impact que peuvent avoir des paroles mal maîtrisées dans un espace globalisé .