Quelque jours après la présentation du rapport de la commission de suivi relatif au financement des partis politiques, des représentants de partis expriment leurs désaccords concernant le choix de cette structure.
Le secrétaire général du Parti Fusion dénonce le caractère jugé” Partisan” du rapport du comité de suivi.
Rosemond Pradel croit que ce procesus affaiblira les partis politiques et la démocratie dans le Pays.
En ce sens, le leader politique invite l’éxécutif à rectifier le tir.
Le président du Parti “Rasanble pou Sove Lakay ” abonde dans le même sens tout en dénonçant ainsi le favoritisme du rapport.
Prenant comme exemple le Parti RDNP, dirigé par madame Manigat, qui selon lui , ne répond pas aux critères de sélection.
Fort de ce constat , Yvon Bonhomme dit prendre ses distances par rapport au document.
Plus loin , le leader politique prévoit que le proccessus de financement des partis politiques occasionnera l’instabilité politique dans le Pays.
Conformément à la mission que s’est fixée le Président de la république, Yvon Bonhomme invite ce dernier à prendre des mesures afin de pallier cette situation qu’il qualifie de “Corruption”.
En réaction, Mathias Pierre l’un des membres de ce Comité donne la garantie que le processus de financement respecte le prescrit de la loi relatif à cette question.
Le choix des partis les plus représentatifs est basé sur les élections de 2006 à 2011, affirme Mathias Pierre.
À ce propos , Yvon Bohomme responsable du PARASOL rétorque qu’une loi ne saurait être rétroactive.
La loi sur le financement des partis politiques a été voté en 2014 poursuit-il.
Notons que 572 millions de devront servir bientôt au financement de 58 partis d’après les recommandations du Comité de suivi.