Présidentielle américaine : les questions religieuses au cœur du vote

Présidentielle américaine : les questions religieuses au cœur du vote

Malgré les affirmations fausses de Donald Trump selon lesquelles il serait en tête des intentions de vote dans tous les États clés de l’élection présidentielle américaine, l’ancien dirigeant et Kamala Harris sont au coude à coude dans les sondages. La question religieuse sera l’un des facteurs qui pourrait faire la différence. Le facteur religieux, enjeu du scrutin ? C’est vrai notamment dans l’électorat afro-américain, traditionnellement plutôt acquis aux démocrates. Mais beaucoup de ceux qui ont quitté les églises noires traditionnelles, baptistes, méthodistes ou pentecôtistes, sont surtout des hommes, conservateurs, moins enclins à soutenir une femme candidate à la présidentielle. Et ces quelques voix pourraient peser sur le résultat des élections, comme l’a expliqué Jason Shelton, professeur de sociologie à l’université d’Arlington au Texas, lui-même afro-américain, il travaille sur les interactions entre « race, religion et politique ». Il vient de publier L’Église noire contemporaine : les nouvelles dynamiques de la religion africaine américaine aux éditions Presses Universitaires de New York.Les élections américaines vues du MexiqueLe Mexique est directement concerné par la politique migratoire du futur président ou présidente. Mexico devra aussi travailler avec lui ou elle sur la lutte contre le trafic de drogue et les accords commerciaux. Dans tous les cas, on se rassure dans le sens où on sait que même si le Mexique dépend de son voisin américain, les États-Unis ne peuvent rien faire sans le Mexique. Ils sont chacun leur principal partenaire commercial. Leurs économies sont trop intimement liées et donc les deux pays n’ont pas d’autre choix que d’entretenir des bonnes relations. Explications avec notre correspondante Gwendolina Duval.Haïti : la violence des gangs aggrave la crise alimentaireLes régions contrôlées par les bandits sont limitées dans leur approvisionnement en denrées alimentaires. Des tonnes de denrées sont perdues à cause de la violence armée dans les zones rurales. C’est un article à lire sur le site ayibopost.com, notre partenaire, que l’on retrouve comme chaque premier vendredi du mois.À la Une de la 1èreEn Martinique, les agriculteurs locaux veulent, eux aussi, apporter leur contribution à la lutte contre la vie chère.

Malgré les affirmations fausses de Donald Trump selon lesquelles il serait en tête des intentions de vote dans tous les États clés de l’élection présidentielle américaine, l’ancien dirigeant et Kamala Harris sont au coude à coude dans les sondages. La question religieuse sera l’un des facteurs qui pourrait faire la différence.

Le facteur religieux, enjeu du scrutin ? C’est vrai notamment dans l’électorat afro-américain, traditionnellement plutôt acquis aux démocrates. Mais beaucoup de ceux qui ont quitté les églises noires traditionnelles, baptistes, méthodistes ou pentecôtistes, sont surtout des hommes, conservateurs, moins enclins à soutenir une femme candidate à la présidentielle. Et ces quelques voix pourraient peser sur le résultat des élections, comme l’a expliqué Jason Shelton, professeur de sociologie à l’université d’Arlington au Texas, lui-même afro-américain, il travaille sur les interactions entre « race, religion et politique ». Il vient de publier L’Église noire contemporaine : les nouvelles dynamiques de la religion africaine américaine aux éditions Presses Universitaires de New York.

Les élections américaines vues du Mexique

Le Mexique est directement concerné par la politique migratoire du futur président ou présidente. Mexico devra aussi travailler avec lui ou elle sur la lutte contre le trafic de drogue et les accords commerciaux. Dans tous les cas, on se rassure dans le sens où on sait que même si le Mexique dépend de son voisin américain, les États-Unis ne peuvent rien faire sans le Mexique. Ils sont chacun leur principal partenaire commercial. Leurs économies sont trop intimement liées et donc les deux pays n’ont pas d’autre choix que d’entretenir des bonnes relations. Explications avec notre correspondante Gwendolina Duval.

Haïti : la violence des gangs aggrave la crise alimentaire

Les régions contrôlées par les bandits sont limitées dans leur approvisionnement en denrées alimentaires. Des tonnes de denrées sont perdues à cause de la violence armée dans les zones rurales. C’est un article à lire sur le site ayibopost.com, notre partenaire, que l’on retrouve comme chaque premier vendredi du mois.

À la Une de la 1ère

En Martinique, les agriculteurs locaux veulent, eux aussi, apporter leur contribution à la lutte contre la vie chère.

RFI
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