L’opposition politique radicale, dont la faiblesse n’est plus à démontrer, n’est que la pointe de l’iceberg qui est en train de faire couler le navire JOVENEL MOISE. Jean-Charles Moïse, André Michel, Schiller Louidor, toute la bande des protagonistes du chaos, rejointe par des hommes d’affaires, grands princes du système inhumain et exécrable, ne peuvent pas à eux seuls mettre KO le président de la République.
La plus grosse partie de l’iceberg, responsable des fausses manœuvres comme des errements fous de JOVENEL MOISE, c’est : Michel Martelly.
Par reconnaissance ou par redevance, le 58ème président d’Haïti affiche une servilité morbide à l’endroit du 56ème qui lui fait multiplier les erreurs, les bêtises et les sottises. A distance, Sweet Micky tire les ficelles et télécommande le petit bateau. Véritable marionnettiste !
Pour s’en mettre plein les poches, Michel Martelly place des ministres, des directeurs généraux, des secrétaires d’Etat au sein des différents gouvernements qui se sont succédé. Chantage, marchandage, menace, l’ancien président-musicien utilise toutes les armes à sa disposition pour soumettre Jovenel Moïse à ses quatre volontés. Hélas, ce dernier se laisse faire.
Michel Martelly a piteusement échoué. Il a raté son quinquennat. Il a trahi son ami, l’ancien Premier ministre. Comment voulez-vous qu’il travaille à la réussite d’un homme en qui son entourage ne cesse de voir qu’un vulgaire petit paysan, quoique devenu premier citoyen de la nation ?
Aujourd’hui plus que jamais, le président de la République, Jovenel Moïse, a ce choix à faire : se départir de l’emprise de Michel Martelly ! Secouer le joug ! Par miracle ou par ruse, la marionnette doit couper les fils des mains du marionnettiste ! En un mot : l’actuel locataire du Palais national doit, ici et maintenant, enlever la grosse épine de son pied.
Une fois de plus : Jean-Charles Moïse, André Michel, Schiller Louidor, toute la bande des protagonistes du chaos, rejointe par des hommes d’affaires, grands princes du système inhumain et exécrable, ne peuvent pas à eux seuls mettre KO le président de la République.
L’administration Moïse fait face à cinq grands problèmes : Martelly ! Martelly ! Martelly ! Martelly ! Martelly !
La reconnaissance qui est la mémoire du cœur ne doit aucunement être un motif de lâcheté ! A bon entendeur, salut !