Éditorial : Quand Dimitri Vorbe se fait l’ennemi numéro un des journalistes

Éditorial : Quand Dimitri Vorbe se fait l’ennemi numéro un des journalistes

Pas une semaine ne passe sans que l’homme des “mauvaises affaires”, Dimitri vorbe, n’assène une sale gifle à des journalistes. Même s’il n’a pas le culot de citer nommément les journalistes ciblés, il est un fait que l’ancien vendeur de blackout a bien choisi ses ennemis parmi les travailleurs de la presse.

Parait-il que tous ceux, journalistes, artistes, qui n’ont pas choisi de défendre la mauvaise cause de la SOGENER méritent, aux yeux de M. Vorbe, la corde ou le bûcher.

Sans donner raison aux inquiétantes vociférations de Dimitri Vorbe, il semblerait que certains journalistes et artistes lui soient redevables pour avoir “manje lajan Chango”.

Si Twitter n’existait pas, Dimitri Vorbe l’aurait inventé rien que pour se décharger de ses dégueulis sur le dos des journalistes.

Depuis que l’État haïtien a repris possession de ses biens, les sites Varreux, Dimitri Vorbe est dans le noir, trébuchant ça et là, piétinant journalistes et artistes qui ne prennent pas fait et cause pour lui.

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