Sur la route de Delmas règne une situation de panique qui crée un ralentissement de la circulation. En effet, moins de trente minutes après que le président a décrété l’état d’urgence et annoncé tout un ensemble de mesures auxiliaires pour faire face à la présence du virus désormais au pays, les gens affluent de toute part vers les supermarchés, encore ouverts pour s’approvisionner en produits alimentaires.
Barbancourt
le rhum des connaisseurs
Sur la route de Delmas, aux environs de Delmas 65, l’embouteillage est dense. Des voitures dans les rues font la queue pour trouver une place au parking de Belmart. C’est la panique totale.
Pareille situation est constatée à Start 2000, à Delmas 30, les voitures attendent dans les rues pour se garer. À l’intérieur, les gens se bousculent dans les rayons pour se procurer les denrées nécessaires à un confinement.
Si ces derniers se préparent à un arrêt éventuel de travail, le cas n’est pas pareil pour certains qui se plaignent déjà d’un prochain “pays lock”.
Une situation économique difficile. Nombreux sont ceux qui ont affirmé, ce soir, n’être pas capables de subvenir à leurs besoins en cas de confinement total en ces temps de crise.
C’est à se demander que deviendront ceux qui vivent avec moins d’un dollar US par jour ?
Taux de change
Laisser un commentaire
Votre adresse électronique ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'un *