La politique étrangère de Joe Biden fait l’objet de vives critiques, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour son avenir politique. Sa tentative d’équilibrage entre l’Ukraine et la Palestine a été jugée inefficace et a suscité une réaction négative de l’opinion publique. En effet, le Premier Ministre Israélien a adopté un comportement rebelle en refusant les demandes de Biden pour un cessez-le-feu.
Un aspect encore plus troublant est que 90% des besoins en munitions d’Israël proviennent des États-Unis. Malgré les appels répétés de Joe Biden pour persuader Israël d’accepter un cessez-le-feu, ces demandes ont été catégoriquement rejetées, mettant ainsi en lumière les limites de l’influence américaine dans la région.
En outre, le manque de leadership de Joe Biden face à l’effondrement d’Haïti a également été critiqué. Depuis les années 1986, il semble que les États-Unis dictent la politique haïtienne, allant jusqu’à influencer le choix du président, du premier ministre et même du chef de la police. Même pour le départ de Jean Duvalier, c’est les USA qui ont donné leur feu vert.
Ces événements mettent en évidence les défis auxquels Joe Biden est confronté sur la scène internationale et soulèvent des questions sur sa capacité à gérer efficacement les affaires étrangères. Si ces tendances persistent, elles pourraient avoir un impact significatif sur les prochaines élections présidentielles aux États-Unis, remettant en question la confiance du public envers le leadership de Biden dans les affaires mondiales.
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