Il faut cesser d’édulcorer la réalité. Ce que mène Luis Abinader en République dominicaine n’est pas une politique migratoire. C’est une campagne de terreur ethnique. C’est une épuration. C’est une guerre contre les Noirs. Contre les Haïtiens.
Depuis deux ans, le président dominicain orchestre une politique de persécution brutale et raciste. Les Haïtiens sont traqués, battus, emprisonnés, expulsés sans jugement. Des enfants sont arrêtés dans les écoles. Des femmes enceintes, même à terme, sont expulsées sans soins. Certaines sont mortes en détention ou à la frontière. Tout cela au nom d’une prétendue “souveraineté”. C’est inhumain. C’est barbare.
Un régime de haine et de peur
Aujourd’hui, Abinader est le Hitler de la Caraïbe. Il ne construit pas des chambres à gaz, mais il érige un mur de honte, déporte des dizaines de milliers de personnes, criminalise l’origine haïtienne, institutionnalise la xénophobie. Il gouverne par la peur, par l’humiliation, par la destruction des familles.
10 000 expulsions par semaine. Des rafles dans les rues. Des descentes dans les hôpitaux. Des arrestations dans les marchés, dans les écoles, dans les lieux de culte. Des corps jetés à la frontière comme des sacs d’ordures. Voilà ce qu’est devenue la République dominicaine sous Abinader : un État raciste en guerre contre ses voisins.
Une société complice, un monde silencieux
Et que fait la société dominicaine ? Une partie l’applaudit. Le reste se tait. L’ONU, la CARICOM, les puissances occidentales regardent ailleurs. Ils osent parler de “problème migratoire” quand il s’agit d’une politique d’apartheid racial. L’histoire jugera leur lâcheté.
Le peuple haïtien, lui, est abandonné. Méprisé. Criminalisé. Mais il n’est pas à genoux. L’histoire des Haïtiens est une histoire de résistance. Et face à ce nouveau fascisme caribéen, nous devons nous lever, nommer l’ennemi, dénoncer l’oppression, et exiger justice.
Nous disons non à l’hitlérisme caribéen
Luis Abinader n’est pas un chef d’État. C’est un dictateur aux méthodes fascistes. Il restera dans l’histoire comme le Hitler des tropiques, celui qui a osé relancer une politique d’exclusion raciale au 21e siècle. Et ceux qui se taisent aujourd’hui, qu’ils soient Haïtiens ou étrangers, porteront demain la honte d’avoir laissé faire.
Le sang des femmes enceintes mortes, des enfants traumatisés, des familles déchirées crie justice. Ce cri ne s’éteindra pas.
Abinader, nous vous voyons. Le monde vous verra. Et il vous jugera.


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