Plusieurs fronts ont été ciblés simultanément par les assaillants, semant la panique au sein de la population. Des maisons ont été incendiées, des civils tués, et de nombreux habitants contraints de fuir dans l’urgence pour échapper à la mort.

Témoins et rescapés décrivent une démonstration de force brutale, marquée par des rafales d’armes automatiques et l’absence totale d’intervention rapide des forces de l’ordre.

Face à cette situation alarmante, les habitants lancent un cri de détresse aux autorités étatiques, réclamant d’urgence le renforcement du commissariat local, tant en effectif qu’en équipement.