Assassins, criminels, bref, les qualificatifs ne manquaient pas à l’ancien président du Sénat pour parler de Me André Michel. Andris Riché regrette que ce soit des gens comme « lui », qui sont prêts à tuer pour diriger, qui ont la voix au chapitre.

« C’est affreux, quand un pays arrive à produire des énergumènes de ce genre! », a assené Andris Riché, regrettant que la presse haïtienne participe à la création, la construction de ces personnalités qu’il qualifie de toxiques. Il plaide en faveur de l’émergence d’une autre classe politique.

« De nos jours, nous avons besoin d’une autre forme d’engagement avec des hommes et de femmes motivés et dévoués pour embrasser la cause de la population et œuvrer en faveur du développement du pays », a martelé Andris Riché.