L’attaquant de l’Olympique de Marseille, Pierre-Emerick Aubameyang, marque un but lors du match de leur match de Ligue des Champions contre Newcastle au stade Vélodrome, à Marseille, le 25 novembre 2025. CHRISTOPHE SIMON/AFP Mais que s’est-il donc passé dans les vestiaires de l’Olympique de Marseille à la mi-temps de son match de Ligue des champions contre Newcastle, mardi

Mais que s’est-il donc passé dans les vestiaires de l’Olympique de Marseille à la mi-temps de son match de Ligue des champions contre Newcastle, mardi 25 novembre ? Un coup de gueule ? Une prise de conscience ? Une union sacrée pour enfin se montrer à la hauteur des exigences européennes ? Fébrile, attentiste puis imprécise en première période, l’équipe de l’entraîneur Roberto de Zerbi est revenue transfigurée sur la pelouse du stade Vélodrome. Et a renversé en quatre petites minutes une partie qui semblait jusqu’alors très mal engagée. Deux buts fantastiques de son « ancien » Pierre-Emerick Aubameyang, attaquant de 36 ans aux accélérations toujours folles, et une passe décisive de son débutant du jour, Darryl Bakola, presque 20 ans de moins, ont réchauffé un public en voie de congélation. Et donné à l’OM une victoire capitale dans un match déjà décisif (2-1).
Ce second succès après cinq journées de Ligue des champions remet le club marseillais sur la bonne trajectoire européenne. Malgré ses trois défaites, Marseille occupe – en attendant les matchs du mercredi – la 19e place au classement de la compétition. Et sa victoire sur Newcastle, l’une des très belles équipes de la Premier League, le championnat anglais, lui confère la légitimité pour prétendre à une place parmi les vingt-quatre clubs qui disputeront la phase finale au printemps 2026.
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