Jean-Bertrand Aristide, ingrat et insensible

Jean-Bertrand Aristide, ingrat et insensible

L’ancien président de la République, Jean-Bertrand Aristide, est réputé pour être un homme, diaboliquement, très rancunier. D’ailleurs, c’est sa rancune luciférienne qui l’a, en partie, perdu. L’histoire de ses mandats, perturbés par un sanglant coup d’Etat militaire en septembre 1991 puis par une rébellion armée en 2004, est connue de tous.

Mais, jusqu’ici, le pays ignorait que l’INSENSIBILITÉ et l’INGRATITUDE comptaient parmi les défauts majeurs de l’homme de Tabarre.

La terre a tremblé samedi. Le Grand Sud est mis à l’épreuve. La ville natale de l’ancien Président de la République, Jean-Bertrand Aristide, est aux abois. Pas une note de sympathie, portant la signature du coordonnateur à vie de Fanmi Lavalas n’a été publiée. Titide s’enferme dans son mutisme comme un mille-pattes sous un rocher. Titide n’a pas pipé mot. Titide qui prétendait tant aimer ce peuple ne vole au secours de personne. Quelle indifférence diabolique !

Bien avant cette preuve d’insensibilité marquée, la mort tragique de Jovenel Moïse avait confirmé un trait caractériel de l’ancien exilé : l’INGRATITUDE.

Le 58ème Chef d’État d’Haïti a été assassiné le 7 juillet 2021, peu après avoir, en quelque sorte, sauvé la vie de Jean-Bertrand Aristide. En effet, c’est Jovenel Moïse qui a permis au « coordonnateur à vie » de Fanmi Lavalas, souffrant, d’obtenir un passeport diplomatique avec notation « raison humanitaire », pour aller se faire soigner à Cuba. Il est dit que l’ancien Prêtre avait contracté le Coronavirus. En tout cas, les images qui circulaient sur les réseaux sociaux donnaient à voir un mourant. Titide a la vie sauve, grâce à la diligence de JoMo. Mais, paradoxalement, la mort tragique de Jovenel Moïse n’a pas su aiguillonner l’humanité de Jean-Bertrand Aristide qui s’est confiné, et se confine encore même après les funérailles, dans l’indifférence la plus vile, la plus inhumaine. Pas une note de sympathies n’a été publiée par Fanmi Lavalas. Le petit Chef frappé de strabisme n’a pas pipé mot.

Jovenel Moïse n’est pas le seul ayant goûté, post mortem, à la coupe de l’Ingrat « Titide ». Avant lui, le défunt René Préval avait bu le calice jusqu’à la lie avant de franchir les portes de l’enfer.

Dans le retour d’Aristide au pays 7 ans après son exil, l’administration de « Ti René » avait joué un rôle non négligeable. À la mort de Préval, l’ancien Prêtre de Saint Jean Bosco s’était montré cruellement indifférent. Il n’avait pas daigné participer aux obsèques de celui qui fut son poulain.

Portant son INGRATITUDE comme une seconde peau, Jean-Bertrand Aristide se complaît dans son INSENSIBILITÉ. N’étant pas dupe, le peuple lui rendra la monnaie de sa pièce lors des prochaines élections.

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