L’ex première dame a déclaré : « Je ne me sens pas confortable avec lui pour avoir vraiment la justice ».

Ainsi, elle exprime ses doutes quant à la capacité du juge d’instruction à garantir un traitement juste et équitable dans cette affaire. « Ce n’est pas la personne qu’il faut », a ajouté Martine Moïse.

Elle a aussi partagé son sentiment selon lequel le juge d’instruction semble faire appel aux mêmes personnes et a fait référence aux enquêtes antérieures menées par d’autres magistrats, suggérant que Walther Wesser Voltaire pourrait poursuivre ces investigations pour parvenir à des résultats probants.

Cette déclaration met en lumière les raisons pour lesquelles Martine Moïse a récusé le juge instructeur. D’un autre côté, l’avocat de la première dame a démenti les informations faisant croire qu’il a avoué que le juge allait se rendre aux États-Unis pour écouter la première dame.

« Par la présente, moi, Emmanuel Jeanty, avocat, je tiens à apporter un démenti formel à toute rumeur ou information provenant d’articles de journaux imprimés ou en ligne rapportant que j’avais mentionné que le juge instructeur Me Walther W. Voltaire, se rendrait aux États-Unis dans les jours qui viennent pour y auditionner des témoins, dans le cadre de l’assassinat du feu Président Jovenel Moïse », peut-on lire dans la note.