Par tous les moyens, sur tous les fronts, l’Opposition et alliés tentent de renverser le pouvoir en place. Le Président de la République qui mène une lutte sans merci contre la corruption s’attire chaque jour la foudre de ceux qui s’enrichissent malhonnêtement dans le pays.
Chambardement du pouvoir en place par un coup d’Etat quelque soit le chemin emprunté, c’est le but des opposants politiques radicaux et leurs acolytes. Comme si le rapport Petrocaribe qui a visé le chef de l’Etat, accusant à tort sa firme d’escroquerie, ne suffit pas, l’opposition politique cherche d’autres stratégies.
Dans une alliance conjoncturelle à peine voilée ou qui ne dit pas son nom, des politiciens qui ne sont pas en odeur de sainteté et dont les noms ont été mille fois cités dans des affaires sulfureuses, ont marché à coté des membres d’organismes de droits humains et d’organisations de la société civile pour dire NON à la corruption.
Bizarrement, des manifestants ont brandi une grande photo du Président de la République, Jovenel Moïse, liée par une corde, scandant ainsi des propos hostiles à ce dernier.
Leur symbole voulait dire : ‘’voici le roi des corrompus, arrêtez-le !’’
Pourquoi le Chef de l’Etat est-il dans le viseur de tant de secteurs ? Depuis sa campagne électorale, Jovenel Moïse avait promis de lutter avec hargne contre la gangrène que représente la corruption généralisée.
Arrivé au pouvoir, c’est chose faite. Dans tous les domaines: l’énergie, les infrastructures routières, l’éducation entre autres, le Président de la République a mis des verrous qui freinent systématiquement ‘’le vol’’ des deniers publics.
Du 7 février 2017 à nos jours, des réseaux de faussaires ont été démantelés, des chèques zombies, pratique courante au sein de l’administration publique, ont été récupérés, l’Etat n’est plus le grand perdant des contrats passés avec le Privé…
Voilà en gros ce qui explique l’acharnement des uns et des autres contre Jovenel Moïse qui s’est réjouit toutefois d’être le seul capable de lutter efficacement contre la corruption.
A la tentative des opposants radicaux et alliés de détourner la lutte contre la corruption, le Président de la République répond : ‘’tolérance zéro’’